Réside en ciel


« I’ve seen your flag on the marble arch… »

En été, profitons de la douceur du soir.

Rides en ciel

N’oublions pas cependant de lever le nez vers le ciel et même s’il faut « se tordre le cou… » pour « se moucher dans les étoiles… »

Stars… (Cliquer pour ouvrir. Cliquer une seconde fois pour agrandir)


Les rochers, eux, par leur imposante solidité nous ramène les pieds sur terre…

Rocher du Canal des Moines à Aubazine


Plat, c’est beau !


J’ai retrouvé le Plat Pays…

T3

T3

…c’est plat, c’est beau.

ça me fait toujours un effet !

Trois p’tites chansons


Lors des fêtes de famille, plutôt que de faire un discours, je chante une petite chanson. Le plus souvent, j’écris un texte sur une mélodie existante. D’autres fois, une musique originale me vient également…
Voici le texte de deux petites chansons que j’ai chantées récemment.
J’y ajouterai prochainement des fichiers audio….

La première est une chanson dont j’ai composé l’air. C’était à l’occasion de la fête anniversaire des 75 ans de ma sœur Marie-Claire :

Quand je suis né,
t’avais 10 ans.
M’as pouponné,
plus que sûr’ment.

Poupée vivante,
quelle beau cadeau !
t’étais contente,
près d’mon berceau.

Bien des années,
tu m’as choyé,
et accueilli
dans ton logis.

Comme une mère
de complément,
très en affaire
pour mes tourments.

Et aujourd’hui
chère Marie-Claire,
je te le dis
bien haut et clair :
Je suis heureux voire fier
d’être toujours ton petit frère !

Et comm’ not’ père
assurément,
t’étais sévère,
parfois tout l’temps !

Moi j’ai grandi
et bien vieilli.
Me v’là rassis
même aujourd’hui !

Le p’tit dernier
est retraité.
Vers l’étranger
s’en est allé.

‘l en est ainsi,
je suis parti
bien loin d’ici
finir ma vie.

Et aujourd’hui
chère Marie-Claire,
je te le dis
et persévère :
Je suis heureux et même fier
d’être toujours ton petit frère !

La vie avance
à très grand pas,
elle mène la danse
vers le trépas.

Un jour sans doute
rattraperai
ce bout de route
qu’ t’as déjà fait.

C’est vrai chez nous,
il y a des mots
un peu tabous.
que je trouv’ beaux :

Du fond d’la France,
je viens ce jour
te dire le sens
de mon amour.

Et aujourd’hui
ma très chère sœur,
je te le dis
de tout mon cœur :
Je suis heureux et même fier
d’êt’ pour toujours ton petit frère !

J’ai écris le texte suivant pour la même occasion sur l’air de Ay Marieke de Jacques Brel :

Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !

Ton caractère, i faut s’le faire !
t’l’as hérité de ton père.
Ton caractère, la mince affaire,
attire parfois notre colère !
Mais à part ce côté râleur
de ta mère t’as hérité
cette grande qualité de cœur
qu’on appelle : …..Générosité ! ->Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !

La famille, ta famille
tes frères, ta petit’ sœur
tes fils et puis ta fille
‘z ont une telle place dans ton cœur !
Tes p’tits-enfants et ton arrière,
t’as raison d’en être fière !
Oui la famille, ta famille
quand t’en parles…..tes yeux brillent !->Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !

Et bien sûr, il y a Maurice.
Nous a quittés beaucoup trop tôt.
‘z en avez fait des sacrifices
mais malgré ça du bon boulot !
Oui, bien sûr, il y a Maurice,
ce grand amour, ton grand amour !
Tu l’ retrouv’ras, c’est sûr un jour !…
La Vie,………c’est un rude exercice !->Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !

Un, deux, trois, quat’ cancers,
‘l en faut plus pour t’démonter !
La maladie, à quoi ça sert ?
Faut s’ battre sans s’ décourager !
Ta victoire sur le cancer
à chaque fois nous a montrés
que jamais faut s’ laisser faire,
surtout pas croire….. à la Fatalité !->Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !

La musique et la chanson,
le violon et Diapason,
tu les as aimés si longtemps !
Ils te manquent sûr’ment maint’nant !
Mais la musique, oui ta musique,
elle rest’ra toujours dans ton cœur.
Ecoute maint’nant cette musique :
Celle de nos cœurs……..qui chantent en chœur :->Ay MarieC, MarieC, on t’aime tant !
ça fait maint’nant, soixante-quinze ans !
Ay MarieC, MarieC, nous on est contents
d’fêter aujourd’hui tes septante-cinq ans !
Ay MarieC, MarieC,
On t’aime tant !
On t’aime tant !
On t’aime tant !
On t’aime tant !….

Enfin, j’ai écrit le troisième texte sur une mélodie interprétée,
il y a quelques années par Serge Reggiani.

Je l’ai chanté à l’occasion du mariage de ma fille Barbara avec Kristof, son compagnon depuis plus de 20 ans
:
https://www.dropbox.com/s/etouzp0pb6f3ycs/Ma%20fille%20boutchou.mp3?dl=0

Ma fille, mon enfant,
je me souviens du temps
du jour où tu es née.
Ta petite tête ronde
qui fit une petite ronde
avant que tu n’pointes le nez.
J’y pense à chaque fois
à ce grand jour de joie
où je devins papa
pour la première fois
qui me vit émerveillé
et me laissa bouche bée…

Tu as grandi depuis
à une telle vitesse.
Je te vois aujourd’hui
pleine de vie, de sagesse.
Je te vois mère à ton tour
et après tant d’années
tu veux te marier
pour affirmer ton amour
pour ce garçon réservé
qui venait te chercher
pour aller faire un tour….
Maintenant, c’est pour toujours

Mon enfant, mon bout d’chou
Bonne route… Bonne route !
Tu es dans le train de ta vie.
Et mon cœur a changé de pays…

Ma fille tes quarante ans,
tu les as maintenant
et te voilà petite mère
de deux petits garçons
dont tu peux être fière
et que j’aime tout autant
que toi depuis ton premier jour
et malgré tous mes détours
que tu n’a pas toujours compris
ainsi en va la vie
qui nous donne le choix
des chagrins ou de la joie.

Je n’ai pas toujours était là
Tout à côté de toi.
Mais je t’ai donné la vie ;
c’était un beau cadeau.
Je suis là aujourd’hui
pour te dire tous ces mots
que tu n’aimes pas entendre.
Pourras-tu comprendre
que mon amour pour toi
est toujours aussi grand
qu’un soleil en décembre
et qu’il brille en moi si souvent ?…

Mon enfant, mon bout d’chou
Bonne route… Bonne route 
Sur le chemin de ta vie 
Et mon cœur bat pour toi pour la vie…