« #Neander, L’homme nouveau », c’est actuellement le nouveau titre de mon manuscrit.
Qu’en pensez-vous ?
Voici quelques nouvelles du processus en cours :
Le manuscrit est actuellement à la relecture pour les corrections orthographiques (merci ma nièce !).
Auparavant, j’ai envoyé le manuscrit à la relecture à deux sympathisant(e)s.
Voici ci-dessous des extraits de leurs commentaires :
- « Bravo pour avoir réussi à mener jusqu’au bout cette histoire.
J’ai trouvé un peu difficile de rentrer dans le début de ton récit,
surtout après toutes tes pages d’introduction –
– le fait de connaître tes personnages m’a sans doute gênée aussi – ensuite, tu as su trouver un enchaînement avec des digressions qui permettent de se relancer et quelle surprise que ces voyages et aussi cette hypothèse!!! »
2. … » D’où mon admiration devant ton courage. Courage à décrire par le menu tes recherches,
courage à partager tes joies, tes peines, tes impasses, tes enchantements, sans
tomber dans une quelconque forme d’obscénité ni d’incitation au
voyeurisme. Courage aussi pour livrer l’intensité de tes recherches
scientifiques et oniriques (j’ai d’ailleurs appris plein de choses) : tu
livres ici et sans ambages ton cœur entier. C’est émouvant. C’est sans
doute dangereux peut-être ? En tout cas, j’ai trouvé ça exemplaire.
Tu fournis – sans doute à qui y sera sensible – une porte d’embarquement
pour une forme d’onde sensible, celle de cherchants comme toi, comme
moi, comme beaucoup d’autres qui ne savent pas toujours qu’ils
cherchent. Et j’ai trouvé intéressant que tu décrives tes « rencontres »
en montrant simplement que toutes ne marchent pas, en tout cas pas tout
de suite … tant que nous ne sommes pas préparés.
Au début, j’avais envie de te parler de psychanalyse. Quelles réponses
elle pourrait apporter. Puis tu parles de Jung, qui pour moi ne fait pas
partie de la psychanalyse mais de la psychologie des profondeurs. Il a
écrit des choses troublantes, mais lui-même a été tellement trouble que
j’avoue me méfier un peu. Mais ce que tu dis de toi, de ton propre vécu
… quand on s’est approché de ce que tu décris, on sait reconnaître la
réalité de tout ça. C’est pour ça que ton livre n’est pas initiatique au
sens plein du terme : il est pour initiés. Sans doute auras-tu des
difficultés au contact de certains publics (surtout s’ils croient que
c’est un livre sur Neandertal), mais peut-être est-il à classer du coté
de la poésie ? Personnellement, je l’ai reçu comme une poésie.
Ensuite, j’aimerais bien savoir comment l’ont reçu Marylène Patou-Mathis
et Silvana Condemi. Leur apparition est à la fois déterminantes et
fantasques …
Bon, enfin, voilà j’ai adoré lire ton livre. C’est un livre fort car il
décrit une extrême fragilité : celle d’un humain d’aujourd’hui, qui
trouve dans son lointain cousin la force d’assumer son goût pour l’air,
le feu, l’eau et la terre. Sur ce point-là, nous sommes bien frères. Et
beaucoup d’autres. Beaucoup plus qu’ils ne le pensent.
…
Je trouve très bien les infos sur Neandertal etc. à la fin, mais il ne
faudrait pas que ça apparaisse comme corps de texte identique au texte
lui-même. Le réduire sans doute.
Voilà Guy, Yug. Bravo pour ce livre que je qualifie de fort et de
fragile en même temps… »
J’ai remanié le manuscrit en tenant compte de leurs remarques. Entre-temps, j’ai déposé le titre et la description de l’ouvrage auprès de la Société des Gens de Lettres afin de le protéger.
J’ai envoyé ce matin le manuscrit a une connaissance qui travaille dans le monde de l’édition….à suivre.
La suite ? Ce sera probablement une auto-édition afin de pouvoir présenter le bouquin au salon du livre préhistorique de La Chapelle-aux-Saints qui a lieu fin avril, en attendant la réponse éventuelle des éditeurs à qui j’enverrai le manuscrit le plus rapidement possible